Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

mercredi 11 novembre 2015

Pourquoi un blog ?

118 logements : notre résidence De Gaulle-Médéric est plus grande qu'un hameau. En comptant tous ses habitants, elle dépasse le nombre d'âmes d'un petit village, comme il y en a tant parsemés sur le territoire.
Nous vivons ainsi dans une sorte de village où s'empilent les logements et n'avons pas de maire à élire, mais deux gardiens, des référents de Hauts-de-Seine Habitat.

Ainsi, tels sont nos contacts et recours :

Madame Lourenço, notre gardienne
M. Douzi, notre homme de service
M. Hamadi, notre directeur de proximité
M. Mouhibedine, notre inspecteur du site
M. Nigon, notre directeur technique

En dépit de cet effectif, nous sommes confrontés à des soucis tous les jours... et parfois même la nuit. Certains sont réglés assez rapidement par notre gardienne ou notre directeur de proximité, d'autres demandent plus de temps ou génèrent des négociations plus lourdes, comme la fameuse problématique de l'Allée Henriot, qui nécessite l'implication de nos élus.

Voilà pourquoi nous avons décidé d'alimenter un blog dédié à notre lieu de vie, afin de partager nos expériences, de nous rendre service, d'être mieux solidaires également. La disparition récente d'une vieille dame de la résidence nous a montrés de manière éloquente que l'on peut passer des décennies dans cet îlot urbain sans pour autant reconnaître dans la rue sa voisine de palier. 

Nous allons donc partager ici nos problèmes d'ascenseurs bruyants, de portes cassées, de vols de paillassons ou de vélos, de fuites d'eau, d'effractions sur véhicules, de poubelles trop pleines ou de l'évasion de notre boa de son terrarium.
Nous raconterons aussi (pourquoi pas ?) l'histoire que nous connaissons de ce lieu, car rien ne vaut un petit détour par le passé pour mieux comprendre le présent et bâtir des lendemains qui chantent...

Bon, assez bavardé, on se retrousse les manches, et zou !



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