Collectif pour mieux vivre

Le collectif De Gaulle-Médéric rassemble les habitants de notre résidence. Né du constat qu'il ne faut pas attendre la fête des voisins pour échanger, ce blog est le relais de nos interrogations, de nos souhaits d'amélioration.

mercredi 1 juin 2016

De la délicatesse du rebond de la balle en mousse

Récemment, le portail donnant sur l'avenue du Général de Gaulle a été réglé. De nouveau il ferme, ce qui est une nouvelle rassurante. Mais de nouveau il claque bruyamment, si l'on n'y prête pas attention. 
Tout le voisinage de ce portail souffre de cette nuisance sonore et peut, la tête sous l'oreiller, maudire le réparateur comme ses contemporains.



C'est pourquoi nous vous prions, lorsque vous composez votre code d'entrée, ou lorsque vous appuyez sur le bouton de sortie, de veiller à ralentir du bout des doigts la course du battant, tout en douceur. Ça ne prend pas plus de 3 secondes et ça fait plaisir.

Comme si vous teniez la porte à votre charmant(e) voisin(e), sauf que là, y'a personne, apparemment.




Le Collectif a proposé à HDS Habitat de réaliser et de faire poser un message invitant à la même délicatesse, au niveau de l'ouverture, côté résidence.

Un portail clos, c'est l'assurance de la tranquillité et de la sécurité pour nous tous.
C'est aussi sécurisant pour les plus jeunes, qui, quand il ne pleut pas, peuvent goûter le soleil, le jardin, en le respectant, bien entendu.



A ce sujet, offrez une balle en mousse à vos enfants, c'est ce qui est le mieux pour préserver la beauté du jardin foisonnant comme pour ne pas exaspérer le voisinage. Les balles en cuir ne sont pas acceptables dans notre espace commun, et sont plus difficiles à déloger quand elles sont perchées.




Veillez aussi à bien leur rappeler que la nature est précieuse, et qu'il n'est pas question de tirer sur les branches des arbustes, de couper les fleurs (sauf les pâquerettes, idéales pour composer des bouquets ou des couronnes, des bracelets etc), de s'accrocher aux arbres, de faire des batailles de pommes de pin, de s'asperger avec le robinet du jardin, qui autrefois était condamné, et qui depuis le départ de M. Paradis est accessible à tous. L'eau des pâtes, vous pouvez dans l'absolu la puiser dans le jardin ! Il  serait peut-être judicieux de poser une clé sur cet accès, pour ne tenter ni les rigolos, ni les plus malins.





Il est également important que les plus grands ne recommencent pas cette année leur parcours du combattant, sans doute haletant, mais ô combien dangereux pour eux : ils partaient au pas de course du jardin, sautaient le mur qui accède à la résidence privée du 20, avenue du Général de Gaulle, passaient dans la rue, longeaient les bâtiments jusqu'au 7 rue Médéric. Là , essoufflés mais excités comme des puces, ils sautaient sur les murs du garage, risquant la chute, piétinaient le jardin et reprenaient leur parcours, se gaussant des recommandations des quelques aînés qui estimaient cela risqué.

Ah c'était le bon temps, diront-ils plus tard.


Ces mêmes enfants s'éclataient dans des parties de cache-cache qui étaient sans doute poilantes, puisque les gosses trouaient de leur passage les haies, se calfeutraient en leur sein ou même pénétraient dans les petits espaces privés des gens en rez-de-jardin.

Jouer est recommandé pour la santé, et à tout âge, mais en respectant l'intimité 
et la tranquillité des voisins.









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