L'allée Henriot est devenue un repaire de citoyens peu scrupuleux qui se garent là, sans réfléchir. Avec la réduction sauvage de ses dimensions, nous pouvons nous alarmer d'une telle action, alors que les ponts de mai vont multiplier le stationnement de voitures ventouses dans une allée dont on ne soupçonne pas, depuis la rue Médéric, qu'elle mène à un parking, à des habitations.
La situation est donc absolument négligée.
Si on ajoute à cela les relevés de pollution de l'air bientôt effectués sur 48 heures dans nos logements, nous pouvons avoir le coeur gros et le sentiment d'avoir été particulièrement maltraités par les pouvoirs publics locaux.
Ci-dessous, le témoignage d'une voisine :
En tant que locataire du 7, rue Médéric – bâtiment C (bâtiment R + 4), mais aussi en tant que membre du Collectif De Gaulle Médéric, je me dois d’attirer votre attention sur les risques encourus par l’ensemble des locataires de ce bâtiment en cas d’incendie.
La situation est donc absolument négligée.
Si on ajoute à cela les relevés de pollution de l'air bientôt effectués sur 48 heures dans nos logements, nous pouvons avoir le coeur gros et le sentiment d'avoir été particulièrement maltraités par les pouvoirs publics locaux.
Ci-dessous, le témoignage d'une voisine :
En tant que locataire du 7, rue Médéric – bâtiment C (bâtiment R + 4), mais aussi en tant que membre du Collectif De Gaulle Médéric, je me dois d’attirer votre attention sur les risques encourus par l’ensemble des locataires de ce bâtiment en cas d’incendie.
En
effet, depuis hier, le chantier des 9 et 11, rue Médéric semble
renaître de ses cendres et les modifications de l’allée Henriot vont
bon train à tel point que la voie d’accès-pompiers a totalement disparu
des radars !
Je rappellerai que :
- Le 11 mars 2004, le Général de la brigade des sapeurs-pompiers avait entre autres notifié à Monsieur le Maire que « l’allée
Henriot doit répondre aux caractéristiques d’une voie-engins depuis la
rue Médéric jusqu’au droit du bâtiment C, puis aux caractéristiques
d’une voie-échelle le long de la façade de ce bâtiment ».
- Le
15 février 2016, toujours ce même Général de la brigade des
sapeurs-pompiers écrivait à la Direction des Services de l’Urbanisme ce
qui suit :
« …
de mémoire, la desserte de la résidence située aux 7 et 7 bis, rue
Médéric a déjà été abordée dans mes avis 12585 du 23/5/2014, 1007 du
28//2005, 26666 du 10/3/2004, 5670 du 9/2/1990, 16527 du 9/5/1985. Le bâtiment d’habitation (R + 4) doit être accessible aux échelles aériennes des sapeurs-pompiers depuis l’allée Henriot ».
Comme
vous pourrez le constater sur les photos ci-jointes, le rayon de
braquage de la grande échelle a été considérablement réduit et l’aire de
manœuvre pour accéder au 7, rue Médéric a, elle, totalement disparu.
où est l'aire de manoeuvre ? |
Ajouter une légende |
Où est le rayon de braquage ? |
Parmi
les destinataires de ce courriel, j’ose espérer que l’un d’entre eux
accordera une attention toute particulière à ce qui précède. Il va de
soi que les responsabilités des uns et des autres seront recherchées le
cas-échéant.
Je
profite de ce courriel pour évoquer également la suppression du passage
réservé aux piétons de l’allée Henriot qui se retrouve ainsi
principalement réservée aux véhicules alors que nous sommes très
nombreux à l’emprunter en tant que piétons.
Et
que dire de l’accès au compteur à eau n° 141581 dédié aux immeubles des
7 et 7 bis, rue Médéric qui, sans l’intervention fortuite de ce jour de
M. Garnier, se serait retrouvé une fois de plus condamné. En effet, le 9
mars dernier, nous avons pu enfin obtenir de la part de la Mairie le
retrait de la plaque métallique et du bloc en béton qui avaient été mis
arbitrairement par la société Brézillon en 2014. Faute d’accès à ce
compteur, depuis 2014 jusqu’à ce jour, la Compagnie des Eaux n’a jamais
pu être en mesure d’effectuer de relevés, ce qui conduit notre bailleur à
nous faire payer des consommations d’eau calculées sur la base
d’estimations.
Tout cela reflète un manque de concertation et/ou de coordination entre les différentes parties concernées.